l'article a été modifié pour tenir compte du fait que l'étude prend en compte les "partages" (shares) sur Google+, plutôt que les +1 comme initialement indiqué. Les conclusions restent valables.
l'impact direct des réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Google+, etc.) sur le positionnement d'une page dans les résultats de Google est aujourd'hui clairement proche de zéro
Les internautes dits influents et disposant d'un réseau important ne sont pas forcément ceux qui seront capables de propager une actualité. Notamment parce que ce qu'ils transmettent peut se diluer.
"Google a inventé un algorithme pour classer la confiance qu'on pouvait porter sur les pages web. PageRank est une modélisation de la confiance. Ce signal de confiance nous a permis de classer les informations et nous a fait gagner des milliards d'heures de travail. Cela a créé de la valeur pour Google, mais aussi pour bien des entreprises qui utilisent ce moteur de recherche.""
La manière dont est rendue visible l'identité des personnes sur les sites du web 2.0 constitue l'une des variables les plus pertinentes pour apprécier la diversité des plateformes et des activités relationnelles qui y ont cours. Que montre-t-on de soi aux autres ? Comment sont rendus visibles les liens que l'on a tissés sur les plateformes d'interaction ? Comment ces sites permettent-ils aux visiteurs de retrouver les personnes qu'ils connaissent et d'en découvrir d'autres ? Dominique Cardon, sociologue au laboratoire Sense d'Orange Labs, propose ici une typologie des plateformes relationnelles du web 2.0 qui s'organise autour des différentes dimensions de l'identité numérique et du type de visibilité que chaque plateforme confère au profil de ses membres.
"PROLOGUE. Le web est un espace d'écriture. Une écriture protéiforme, en réseau. Le web a offert l'hypertexte à l'écriture. Il a également permis de constituer une grande diversité d'agencements collectifs d'énonciation et d'en mesurer la pregnance, l'efficience. Au delà de ce constat, la qualification des écritures collectives à l'oeuvre sur le réseau est une tâche assez ardue. Mais on va quand même tenter le coup ;-)"
Dans une perspective d'acculturation au numérique, l'utilisation de Pearltrees, un réseau social autour de l'information, met l'élève au cœur des pratiques participatives et de partage du web.
Dans un article précédent (La réputation doit-elle se réduire à un nombre ?), j'avais cherché à montrer - assez naïvement - que la réputation est une logique sociale déjà ancienne, qui conçoit l'individu sous forme numérique